Au nord de la ville, on se retrouve rapidement au milieu des ruines des immeubles qui existaient avant le cataclysme. En effet, cette partie de la ville n’a été que partiellement rénovée ; elle abrite donc les plus pauvres, qui habitent souvent dans des baraques faites de tôle. Certains se terrent même dans la rue car ils n’ont pas de logement.
Paradoxalement, les policiers sont souvent moins nombreux que dans le reste de la cité, semblant prouver que le gouvernement ne se préoccupe que peu de la misère et de la délinquance qui sévissent dans ce bidonville.